Juillet 2017

Drôles de vacances avec ma TÆNTe
Exposition du 6 au 16 juillet 2017
​à la Arles Havas Gallery, rue du Palais

1 projection diapos 
80 images pour 2 histoires

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« L’époque a du bon. Si, si. Touchés violement par la crise et les attentats, les Français ont renoncé pour les vacances à se ruer vers les autres et préfèrent dorénavant rester dans notre beau pays ...

« L’époque a du bon. Si, si. Touchés violement par la crise et les attentats, les Français ont renoncé pour les vacances à se ruer vers les autres et préfèrent dorénavant rester dans notre beau pays. Les maisons de famille qui étaient désertées se sont à nouveau mises à grouiller de monde. Les campings, que l’on boudait ou snobait, ont subitement trouvé grâce à nos yeux. Vacances avec sa tante ou vacances avec sa tente. Les vacances d’antan sont redevenues les vacances d’aujourd’hui. »

DRÔLES DE VACANCES AVEC MA TÆNTE, c’est le brief volontairement ambiguë formulé par Christophe Coffre aux photographes et aux agents pour la 3ème exposition de l’agence Havas Paris à Arles, qui ouvre ses portes le 6 juillet dans la Havas Gallery.

DRÔLES DE VACANCES AVEC MA TÆNTE présente 80 clichés sélectionnés (parmi 450 photos) reçus de la part de 55 photographes, confirmés ou talents en devenir, issus des mondes de la publicité, de la mode, de l’art, de la presse. 80 comme le nombre exact des diapositives dans un carroussel, format choisi pour cette exposition.

Des images, un format… il restait à écrire une histoire ; deux histoires plus précisément.  « Souvenir confus d’une enfance heureuse » et « Le destin tragique d’une extraterrestre­ » imaginées par Christophe Coffre et portées à l’écran par des projections successives tout au long de la journée dans le petit espace connexe à l’Hôtel du Nord Pinus.

« Il suffisait de mettre les diapos dans un ordre pour raconter une histoire et dans un ordre différent pour en raconter une autre.» explique Christophe Coffre, Président Directeur de la création de Havas Paris. « Preuve une nouvelle fois que l’on fait dire ce que l’on veut aux images. »

« Dans une époque abreuvées d’images numériques, choisir le format de la diapositive a représenté une gageure technique devant l’abandon du procédé. Mais l’émotion de nos interlocuteurs et les souvenirs vivaces que l’évocation des soirées diapos suscitent nous ont motivés. » raconte Thierry Grouleaud, Commissaire de l’exposition et Directeur de la Production chez Havas Paris. « Nous remercions le laboratoire photos Processus sans qui l’exposition n’aurait pas vu le jour sous ce format. »

Et après ?
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