Mars
2021
Le #NewDeal vu par Edouard Malbois – Fondateur Utopia Hackers
Utopia Hackers vient de sortir son ouvrage « Le new vivant », qui prend l’utopie comme point de départ de la réinvention de la food industry : pourquoi ?
On est parti du concept de l’utopie parce que la transformation en profondeur de nos modèles est inévitable. Elle doit être infiniment inclusive, radicale et joyeuse. En travaillant sur un champ transformateur de 8 grandes utopies agroalimentaires, nous remettons les grands rêves citoyens et consommateurs au cœur même de la transition agroalimentaire.
Pour cela, nous avons conçus deux armes propriétaires : oser l’utopie pour prendre un nouveau leadership sur sa catégorie, et faire travailler deux communautés nouvelles sur l’enjeu de l’entreprise : les sciences humaines, à travers notre coopérative intellectuelle, et les Millenials, à travers la « Cité des Millénials ». Notre idée est de connecter l’entreprise dans sa transformation avec le meilleur des énergies sociétales.
Gaspillage, bio, local, plastique, rapport au vivant, immédiateté… Comment le secteur appréhende toutes ces transformations, parfois contradictoires ?
C’est extraordinairement complexe et fluctuant. Le Covid-19 a par exemple remis pour un temps le plastique dans nos vies. Le prix reste une variable de choix produit puissante. On a beau rêvé de qualité, de local, de bio...au bout du compte, c’est encore le portefeuille qui décide.
Néanmoins, une conscience nouvelle émerge dans toute la chaine de valeur : la nature est un bien précieux qui se délite. La qualité est notre future santé, et cette qualité a un prix. Les marques agroalimentaires rentrent désormais dans une ère de « Sensiumisation » : il faut offrir du sens au consommateur.
Quels sont pour toi les principaux enjeux du secteur ?
Trois principaux enjeux qui traversent le secteur de l’agroalimentaire aujourd’hui :
Vous aussi, rejoignez le mouvement #NewDeal
On est parti du concept de l’utopie parce que la transformation en profondeur de nos modèles est inévitable. Elle doit être infiniment inclusive, radicale et joyeuse. En travaillant sur un champ transformateur de 8 grandes utopies agroalimentaires, nous remettons les grands rêves citoyens et consommateurs au cœur même de la transition agroalimentaire.
Pour cela, nous avons conçus deux armes propriétaires : oser l’utopie pour prendre un nouveau leadership sur sa catégorie, et faire travailler deux communautés nouvelles sur l’enjeu de l’entreprise : les sciences humaines, à travers notre coopérative intellectuelle, et les Millenials, à travers la « Cité des Millénials ». Notre idée est de connecter l’entreprise dans sa transformation avec le meilleur des énergies sociétales.
Gaspillage, bio, local, plastique, rapport au vivant, immédiateté… Comment le secteur appréhende toutes ces transformations, parfois contradictoires ?
C’est extraordinairement complexe et fluctuant. Le Covid-19 a par exemple remis pour un temps le plastique dans nos vies. Le prix reste une variable de choix produit puissante. On a beau rêvé de qualité, de local, de bio...au bout du compte, c’est encore le portefeuille qui décide.
Néanmoins, une conscience nouvelle émerge dans toute la chaine de valeur : la nature est un bien précieux qui se délite. La qualité est notre future santé, et cette qualité a un prix. Les marques agroalimentaires rentrent désormais dans une ère de « Sensiumisation » : il faut offrir du sens au consommateur.
Quels sont pour toi les principaux enjeux du secteur ?
Trois principaux enjeux qui traversent le secteur de l’agroalimentaire aujourd’hui :
- La création de valeur alimentaire dans le respect continu de la nature. Produire, c'est mettre en scène le vivant, et non pas le détruire
- La qualité alimentaire pour tous, en inventant les nouveaux business modèles de la qualité.
- L’inclusion du consommateur dans la cahier des charges de la transformation, de la production jusqu’au produit et son emballage.
Vous aussi, rejoignez le mouvement #NewDeal
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