Le #NewDeal vu par Vincenzo Vinzi, Directeur Général de l’ESSEC

Quel est le rôle de l’éducation dans la transformation positive de l’économie ?

Les établissements d’enseignement supérieur et de recherche ont un rôle clé face aux défis actuels et futurs. Il faut redonner du sens au leadership. L’ESSEC assume pleinement cette responsabilité. En tant qu’institution académique d’excellence, sa mission est de contribuer à rendre le monde plus durable, juste et inclusif grâce à la production et au partage du savoir. C’est le sens de notre devise : « Enlighten, Lead, Change » ! Fidèle à ses racines humanistes françaises, notre école-monde forme des leaders éclairés, des futurs dirigeants qui pourront avoir un impact positif sur la transformation de l’économie et la société.
Cela passe par une formation interdisciplinaire, ouverte sur la complexité des enjeux et leur interconnexion. Nous savons désormais que l’économie, l’écologie, le social, la technologie, la géopolitique sont liés. Dans l’éducation aussi, ils doivent être abordés ensemble, et non en silos. Les étudiants en ont besoin pour apprendre à penser global et long terme, et concevoir des modèles économiques plus durables. C’est la direction que nous prenons à l’ESSEC.
Enfin, notre capacité de transformation tient à la puissance du collectif. Nos étudiants, professeurs, équipes et alumni sont embarqués avec nous dans cette démarche de progrès. C’est un levier d’action considérable, et enthousiasmant !
 
Quel est le rôle de l’éducation dans la transformation positive de l’économie ?

Les établissements d’enseignement supérieur et de recherche ont un rôle clé face aux défis actuels et futurs. Il faut redonner du sens au leadership. L’ESSEC assume pleinement cette responsabilité. En tant qu’institution académique d’excellence, sa mission est de contribuer à rendre le monde plus durable, juste et inclusif grâce à la production et au partage du savoir. C’est le sens de notre devise : « Enlighten, Lead, Change » ! Fidèle à ses racines humanistes françaises, notre école-monde forme des leaders éclairés, des futurs dirigeants qui pourront avoir un impact positif sur la transformation de l’économie et la société.
Cela passe par une formation interdisciplinaire, ouverte sur la complexité des enjeux et leur interconnexion. Nous savons désormais que l’économie, l’écologie, le social, la technologie, la géopolitique sont liés. Dans l’éducation aussi, ils doivent être abordés ensemble, et non en silos. Les étudiants en ont besoin pour apprendre à penser global et long terme, et concevoir des modèles économiques plus durables. C’est la direction que nous prenons à l’ESSEC.
Enfin, notre capacité de transformation tient à la puissance du collectif. Nos étudiants, professeurs, équipes et alumni sont embarqués avec nous dans cette démarche de progrès. C’est un levier d’action considérable, et enthousiasmant !
 
Comment l’ESSEC accompagne-t-elle cette transformation ?

Pour répondre aux enjeux majeurs de transition écologique et sociale, l’ESSEC a initié un plan de transformation globale, Together, inscrit au cœur de la stratégie. Depuis 18 mois, nous faisons tout évoluer : les formations, la recherche et la vie sur nos divers campus.
Cette démarche a déjà porté ses premiers fruits. Sur le volet social, nous avons par exemple augmenté la part d’étudiants boursiers à 23%, contre 5% en 2010, et visons 27%. À partir de septembre 2022, tous les étudiants de la Grande école seront formés aux enjeux de diversité et inclusion, en commençant par la Fresque de la Diversité. Côté environnement, 100% des étudiants (Grande école, Global BBA, Masters) suivent une formation de 20h sur les enjeux environnementaux. Nous avons aussi inauguré plusieurs formations (Master et Bachelor) et Chaires centrées sur la durabilité : « Talents de la transition écologique », « Global Circular Economy » ou encore « Entreprise et Bien commun ». Sur les campus, nous améliorons la performance énergétique de nos bâtiments, réduisons nos déchets, supprimons le plastique à usage unique ... Enfin, nous renforçons nos alliances avec les acteurs locaux, comme CY Cergy Paris Université, pour enclencher une dynamique vertueuse à l’échelle du territoire.
Qui dit transformation dit remise en cause des modèles établis. Le passage de nos étudiants à l’ESSEC doit être un moment pour acquérir de nouveaux savoirs, mais aussi pour apprendre à (dés)apprendre. Avec Together, l’Ecole s’applique à elle-même ce principe. Fidèle à son esprit pionnier, elle est en réinvention constante pour s’assurer de la pertinence et de l’impact positif de ses formations. 

Quel regard portez-vous sur la hausse du niveau d’engagement de vos étudiants sur les questions de durabilité ces dernières années ?

Les étudiants et jeunes diplômés « haussent le ton » dans leurs discours. C’est le cas dans beaucoup d’écoles et c’est aussi le cas aussi chez nous, avec des étudiants et alumni très engagés pour agir face à l’urgence écologique, notamment dans l’association ESSEC Transition Alumni. Ces prises de position sont un signal fort de la part des jeunes. L’ESSEC est déterminée à y répondre, comme le prouvent toutes nos initiatives pour faire évoluer nos savoirs et nos pratiques. A vrai dire, c’est une évolution dans la continuité car cela fait 20 ans que l’ESSEC s’engage sur les sujets de diversité, d’inclusion, d’innovation sociale, et accompagne ses étudiants avec des organisations dédiées, comme la chaire Innovation Sociale et notre accélérateur d’entreprises sociales Antropia.

Pour répondre aux enjeux majeurs de transition écologique et sociale, l’ESSEC a initié un plan de transformation globale, Together, inscrit au cœur de la stratégie. Depuis 18 mois, nous faisons tout évoluer : les formations, la recherche et la vie sur nos divers campus.
Cette démarche a déjà porté ses premiers fruits. Sur le volet social, nous avons par exemple augmenté la part d’étudiants boursiers à 23%, contre 5% en 2010, et visons 27%. À partir de septembre 2022, tous les étudiants de la Grande école seront formés aux enjeux de diversité et inclusion, en commençant par la Fresque de la Diversité. Côté environnement, 100% des étudiants (Grande école, Global BBA, Masters) suivent une formation de 20h sur les enjeux environnementaux. Nous avons aussi inauguré plusieurs formations (Master et Bachelor) et Chaires centrées sur la durabilité : « Talents de la transition écologique », « Global Circular Economy » ou encore « Entreprise et Bien commun ». Sur les campus, nous améliorons la performance énergétique de nos bâtiments, réduisons nos déchets, supprimons le plastique à usage unique ... Enfin, nous renforçons nos alliances avec les acteurs locaux, comme CY Cergy Paris Université, pour enclencher une dynamique vertueuse à l’échelle du territoire.


Qui dit transformation dit remise en cause des modèles établis. Le passage de nos étudiants à l’ESSEC doit être un moment pour acquérir de nouveaux savoirs, mais aussi pour apprendre à (dés)apprendre. Avec Together, l’Ecole s’applique à elle-même ce principe. Fidèle à son esprit pionnier, elle est en réinvention constante pour s’assurer de la pertinence et de l’impact positif de ses formations. 

Quel regard portez-vous sur la hausse du niveau d’engagement de vos étudiants sur les questions de durabilité ces dernières années ?

Les étudiants et jeunes diplômés « haussent le ton » dans leurs discours. C’est le cas dans beaucoup d’écoles et c’est aussi le cas aussi chez nous, avec des étudiants et alumni très engagés pour agir face à l’urgence écologique, notamment dans l’association ESSEC Transition Alumni. Ces prises de position sont un signal fort de la part des jeunes. L’ESSEC est déterminée à y répondre, comme le prouvent toutes nos initiatives pour faire évoluer nos savoirs et nos pratiques. A vrai dire, c’est une évolution dans la continuité car cela fait 20 ans que l’ESSEC s’engage sur les sujets de diversité, d’inclusion, d’innovation sociale, et accompagne ses étudiants avec des organisations dédiées, comme la chaire Innovation Sociale et notre accélérateur d’entreprises sociales Antropia.