Decembre 2020

Miroir, miroir, dis-moi quelle est la plus belle des e-réputations ? 

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Gérer sa e-réputation, ce n’est plus seulement faire l’état des lieux de ce que dit Google et prendre le temps de réparer. C’est anticiper les risques et gérer en temps réel un flot de conversations qui s’intensifie dans un espace qui se fragmente. Au service de l’analyse et de la décision, le monitoring est clé.

Mais les réseaux sociaux rebattent sans cesse les cartes au gré des obligations légales (RGPD, Privacy shield), et des crises de confiance de leurs utilisateurs (Cambridge Analytica). Ils perfectionnent leurs outils pour maintenir un équilibre délicat entre respect de la vie privée et revenus publicitaires : moins de conversations publiques, plus de groupes fermés mais la nécessité de développer sans cesse l’attention de leurs utilisateurs pour la monétiser.   

La capacité des outils d’écoute (social listening) s’est rapidement réduite : exception faite de Twitter (véritable paradis des données), les autres réseaux ne permettent plus qu’une analyse très partielle des discussions en cours. C’est toute cette complexité qui nous pousse à réinventer nos dispositifs : construire des indicateurs personnalisés, maitriser finement le contexte, mieux intégrer la diversité et donc à jouer davantage collectif en capitalisant sur l’ensemble des parties-prenantes – collaborateurs, partenaires, et agences. Bâtir et mesurer sa réputation c’est comprendre et gérer un environnement et des organisations que les machines peinent encore à appréhender. Mais l'humain le peut... si on lui donne les moyens et le temps.
 
Aurélien Pécoul, Data & Insights Manager
Louis Duroulle, Directeur Conseil

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